Au début, c’est plaisant de s’entrainer quand on veut (fréquence/volume) et comme on veut (intensité). Évidemment, on remarque des progrès les premiers temps. Puis, pour la grande majorité des gens, on prend des chemins différents…
Absence de plan d’entrainement
- On stagne, on ne progresse plus ou sinon très lentement (mais on peut être heureux là-dedans et c’est correct!)
- On se blesse car on s’entraine trop intensément
- On se blesse car on s’entraine trop souvent
- On se blesse car on s’entraine trop longtemps
- On se blesse car personne n’est présent pour corriger notre technique
- On s’écoeure carrément du sport et la seule pensée de s’entrainer nous donne la nausée!
Niveaux d’intensité
- Récupération active
- Endurance
- Tempo
- Sweet Spot
- Seuil
- VO2 Max
- Capacité anaérobique
Avant le plan d’entrainement
Ok, on est prêt à se munir d’un plan d’entrainement. On commence où? Tout d’abord, il faut déterminer vos intensités d’effort (récupération active, endurance, tempo, sweat spot, seuil, VO2 Max, capacité anaérobique). C’est facile, il existe tout plein de protocoles pour aller chercher ces réponses. Puis il faut penser au volume d’entrainement. Consultez votre journal d’entrainement des dernières semaines et faites une moyenne du nombre d’heures que vous passez à vous entrainer dans une semaine. C’est une bonne base de travail. Finalement, déterminez avec votre horaire habituel (famille, travail, loisir) et sans faire trop de compromis combien de séances vous pouvez placer dans une semaine. Ici, soyez conservateur. Il sera toujours possible d’augmenter par la suite mais donnez-vous cette fenêtre d’augmentation.
À suivre…